• Le projet de recherche lance sa vidéo officielle pour apporter à la société des solutions en cours de développement permettant d'améliorer la qualité de vie de patients victimes d'infarctus du myocarde.
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Le projet européen CARDIOPATCH vient de lancer sa vidéo de présentation officielle. Celle-ci vise à dévoiler à un public non spécialisé, de manière dynamique et attrayante, les solutions technologiques destinées à améliorer la qualité de vie de patients victimes d'infarctus du myocarde qui seront développées dans le cadre du projet.

Plus précisément, la vidéo s'attache à expliquer les produits issus de la médecine régénératrice et de l'impression 3D, destinés à régénérer les tissus endommagés après un infarctus, ainsi que la création d'un réseau d'excellence afin de stimuler la R&D dans le secteur biomédical de l'Europe du Sud-Ouest. Tout ceci dans le but d'étendre l'utilisation des technologies d'impression au secteur de la santé.

Afin de vulgariser cette thématique aussi pertinente que complexe, la vidéo vise à rendre accessible les concepts scientifiques via des images et un langage accessible à tous. La conception de la vidéo s'est articulée autour d'une palette de couleurs réduite, conçue pour maintenir l'attention sur le contenu et fournir une image sobre et élégante.

Les transitions utilisées tout au long de la vidéo cherchent à impulser du rythme et du dynamisme. En outre, le style de l'illustration fait référence au contenu scientifique du projet, sans tomber dans la rigidité des concepts spécialisés. Ainsi un équilibre entre l'univers du dessin technique et la fantaisie créative de l'animation a été créé.

La vidéo est disponible sur le site web du projet et sur sa chaîne Youtube.

Le projet CARDIOPATCH, cofinancé par le programme Interreg Sudoe de l'Union européenne, par le biais du Fonds européen de développement régional (FEDER), est porté par un consortium de partenaires d'Espagne, de France et du Portugal.

Porté par la Clínica Universidad de Navarra, le projet bénéficie de la participation de CIMA Universidad de Navarra, via la Fondation pour la recherche médicale appliquée, de l'Institut de Recerca de l'Hospital de la Santa Creu i Sant Pau, du centre technologique LEARTIKER, l'agence de communication GUK, du Centre Hospitalier Universitaire de Toulouse, de l'Université de Montpellier (UM) - Institut des Biomolécules Max Mousseron (IBMM), de GenIbet Biopharmaceuticals et de l'Instituto de Biologia Experimental e Tecnológica.